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Décès brutal après le vaccin HPV

Chère lectrice, cher lecteur, Meredith Prohaska avait 12 ans et aucun problème de santé. Le 30 juillet dernier, sa mère l'amène chez le médecin pour un petit mal de gorge. Profitant de leur présence, le médecin fait à Meredith une injection de Gardasil, un vaccin contre les papillomavirus (HPV), celui-là même qui s’apprête à être introduit dans les écoles en France, dès 9 ans si nécessaire, contre le cancer du col de l'utérus :

« La piqûre a été faite vers 10h30-11h du matin » raconte sa maman Rebecca à la télévision américaine. « Trente minutes plus tard, elle a commencé à s'endormir. J'ai fait tout ce que j'ai pu pour la maintenir éveillée » [1].

A 15h30, la maman sort chercher à manger. « En revenant, je l'ai trouvée sur le sol », raconte-elle. La petite Meredith fut déclarée morte à l'hôpital. A l'autopsie, aucune cause n'a pu être identifiée [2].

Aucun problème de santé

« Le seul événement particulier de cette journée, avant sa mort, c'est le vaccin. J'aurais tant voulu être mieux informée avant d'accepter », regrette aujourd'hui Rebecca.

Pour le père de Meredith, Mark, les choses sont claires : « C'est forcément le vaccin ». Meredith n'avait aucun problème de santé. Elle allait à l'école normalement, faisait de la natation et du basket, et tout le monde se souvient d'elle comme de la plus joyeuse des petites filles, un rayon de soleil dans la vie de tous ses proches. Elle a été enterrée le samedi 9 août 2014, au cimetière de sa ville, Waukesha dans le Wisconsin (Etats-Unis).

Le système médical ne voit aucun lien

Le système médical refuse de reconnaître tout lien entre son décès brutal et le vaccin Gardasil. Il est vrai qu’il est impossible de savoir avec certitude si c’est bien le vaccin qui a causé sa mort. Mais ne devrait-on pas, au minimum, prendre ce cas avec le plus grand sérieux, plutôt que de le balayer d’un revers de la main ? Car ce même vaccin est impliqué dans un nombre dramatique de complications bien documentées ! Selon le Professeur Guy Vallancien, urologue, chef de service à l’Institut Montsouris, membre de l’Académie Nationale de Médecine :

« L’analyse des données de pharmacovigilance a fait état de 26 675 effets indésirables graves dont 113 cas de sclérose en plaques (SEP). » « En France, 435 cas d’effets indésirables graves dont 135 de maladies auto-immunes incluant 15 cas de SEP ont été rapportés au réseau national des centres régionaux de pharmacovigilance et au laboratoire producteur[3]. »

Tous ces effets « indésirables » sont bien avérés. Mais l’efficacité de la vaccination contre le HPV, elle, n’est pas du tout démontrée ! Au mieux, la protection est de 70 % contre le cancer du col de l'utérus et les autres maladies sexuellement transmissibles (cancer du pénis, cancers de la zone ORL et du canal anal). Et encore ce chiffre est-il contesté. Il aurait été avancé par les laboratoires pharmaceutiques, mais jamais été confirmé de façon définitive par la science [4].Surtout, il faut savoir que les lésions précancéreuses dues au HPV peuvent être diagnostiquées, et traitées, grâce au frottis. On dispose donc d'une mesure de prévention extrêmement efficace. Pourquoi tant d'insistance à vouloir vacciner en masse les petites filles et petits garçons dans les écoles, avec un vaccin dont on ne connait ni l'efficacité réelle, ni la dangerosité ?

100 000 signatures en moins de 48 heures

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle et le Professeur Henri Joyeux, cancérologue, ont lancé avant hier une pétition d'importance historique pour empêcher la vaccination massive, injustifiée et dangereuse des enfants dans les écoles. Si vous connaissez des parents, si vous-même avez des enfants ou des petits-enfants d'âge scolaire, de grâce signez vous aussi au plus vite (si ce n'est pas encore fait) et transférez là autour de vous. Voici le lien. Ils ont déjà récolté près de 100 000 signatures en moins de 48 heures. Le Professeur Henri Joyeux était au journal télévisé sur France 2 à 13 heures aujourd'hui. Mais il ne faut se faire aucune illusion. A moins d'un million de signatures, les pouvoirs publics ne bougeront pas. Ils peuvent même se permettre de passer complètement sous silence cette mobilisation citoyenne. Votre participation personnelle est donc absolument indispensable, incontournable, pour atteindre cet objectif énorme, mais nécessaire. Je compte sur vous. Lisez ici l'appel à pétition du Professeur Henry Joyeux. Jean-Marc Dupuis

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